libertine

Vous êtes en club, ouen soirée "privée" et, Monsieur, seul, vous avez entrepris de me conquérir...  Pourquoi pas, ne suis pas là dans cet espoir ...

Quelque soit votre méthode, en supposant que je cède à vos avances, je passe tous les préliminaires en accéléré, pour arriver tout du suite à la phase finale.

Vous venez de m'écraser sur la bouche, un baiser fougueux et baveux... MAIS... car il y a un mais ...

Pour vous donner du courage, de la force, pour surmonter votre timidité, vous avez passé au bar quelques bonnes minutes... Une, puis deux coupes de champagne, et puis un whisky, et tiens, ne nous refusons rien, il y avait quelques amuse gueules sur le comptoir... N'oublions pas le demi douzaine de cigarettes que vous avez usées dans l'après midi... Mais oui ...

En fait de baiser, vous allez m'envoyer une haleine de phoque. Pauvres phoques d'ailleurs, je n'ai jamais embrassé de phoques et je ne sais pourquoi j'affuble ces malheureux animaux.

Mais vous alors, ce baiser, il va me laisser un terrible souvenir, d'autant que vous me le livrez puissant, généreux, écrasé, goulu, beurk, beurk, beurk ...

Bien sur que vous ne savez pas que vous avez une haleine de trou d'égout, mais maintenant, un petit conseil, moins d'alcool, plus d'eucalyptus ... et peut être ....

Poursuivons à présent le parcours de cette bouche entrprenante, qui descend à toute vitesse, pour me prodiguer le célèbre "cunni"...  Nous ne sommes pas là longtemps, ne perdons pas de temps.

Et levoilà entre mes jambes, sexe ouvert et offert, clitoris àsa merci. Mais, car il y a un mais ...

Le Gars, il ne s'est pas rasé, depuisdeux jours.  Parce que c'est à la mode, ou par négligence, et il va me labourer ce petit "bout" de douceur, avec violence. Aie ! il me fait mal ce con !

Allez vite, je simule, je jouis comme une bête, je hurle de plaisir, (de douleur, de dépit) et je renvoi le coq à sa basse cour, trés fier, de m'avoir eu, puisqu'il dira à ses copains...  "elle est bonne"...

Mais, car ily a un mais...  nous reparlerons de tout cela plus tard ...